Présentons-nous !

Je suis très heureuse de vous accueillir sur mon blog ! C’est une aventure qui me tient très à cœur : partager sur l’accompagnement éducatif de nos enfants, grâce à des méthodes actives et efficaces, tout en conservant ou restaurant une relation bienveillante et apaisée.

Je vais me présenter à travers 4 thèmes qui me caractérisent et me guident dans ma démarche :

Qui suis-je ? Pourquoi cette volonté de partage ?

Je suis maman de deux garçons, nés 2011 et en 2014, profondément pacifiste.

Avant la naissance de mes enfants, je m’intéressais déjà à la Communication Non Violente (CNV), élaborée par Marshall B. Rosenberg. Je cherchais alors à renforcer mon affirmation en entreprise tout en respectant mes interlocuteurs, apprendre à dire « Non » sans générer de tensions dans la relation, être en mesure d’intervenir pour pacifier une relation conflictuelle entre collègues.

A la naissance de mes enfants, je me suis alors plongée « goulument » dans la littérature concernant l’éducation bienveillante et positive : les livres d’Adele Faber et Elaine Mazlich, que je considère comme mes « bibles », ainsi que ceux d’Isabelle Filliozat, de Thomas Gordon, de Jane Nelsen… J’avais conscience que les oppositions ou conflits avec mes enfants seraient inévitables (dans les différentes périodes d’affirmation du développement de l’enfant/adolescent) et je cherchais des outils pour diminuer au maximum le nombre d’occurrences et leur durée.

Au-delà des relations dans l’ensemble agréables et sereines, je me suis rendue compte que la mise en pratique de la communication bienveillante permettait aussi à mes enfants :

  • qu’ils se sentent bien dans leur peau,
  • qu’ils soient affirmés sans être exubérants (ce qui très important pour moi et me parait indispensable pour évoluer dans notre monde actuel),
  • qu’ils soient empathiques, respectueux des autres et d’eux-mêmes
  • et, globalement, qu’ils respectent les règles.

En parallèle et toujours dans l’optique de conserver des relations familiales apaisées et épanouissantes, il me paraissait indispensable de développer et, surtout, de conserver le goût de mes enfants pour la découverte du monde qui nous entoure et l’envie d’apprendre. La pédagogie Montessori m’est alors apparue comme un bon point de départ. J’ai eu particulièrement à cœur de mettre en œuvre deux grands principes fondateurs :

  • « Apprendre à l’enfant à faire seul, à être autonome« , en adaptant l’environnement dans toutes les pièces de la maison et ne les laissant au maximum expérimenter (je n’ai pratiquement jamais rien interdit, lorsqu’ils étaient encore « trop » jeune/immature pour réaliser certaines activités pratiques ou motrices qu’ils avaient envie de réaliser, je leur signalais les risques et je le leur expliquais que cela nécessitait que je fasse avec vous ou que je sois présente ; il n’y a jamais eu de problème, ils sont toujours venus me chercher avant de réaliser l’activité « dangereuse » ; exemple : monter les escaliers vers 6 mois, couper avec un vrai couteau à bout rond dès 18 mois, monter aux arbres dès 2 ans…) ;
  • « Être au maximum exemplaire (on n’arrive pas à toujours l’être, nous sommes humain ! N’hésitons pas alors à l’indiquer à l’enfant et préciser qu’on fera de son mieux pour ne pas renouveler) car l’enfant apprend en imitant l’adulte« . Nous nous sommes « obligés », moi et mon mari, à adopter les comportements et le langage que l’on souhaitait que nos enfants développent.

Avec une telle présentation, on pourrait en conclure que notre vie familiale avec nos jeunes enfants est idyllique. Et bien sûr ce n’est pas le cas !! Cela aurait été trop simple sinon !

En effet, confrontés à la socialisation que leur a apporté la crèche et l’école, mes enfants intériorisaient les émotions vécues : excitation, stress, peur, incompréhension, sentiment d’injustice, frustrations, etc., émotions générées par la diversité des comportements des adultes et des enfants avec lesquels ils étaient en contact. Cela a particulièrement été marqué avec l’entrée à l’école maternelle car les enfants sont plus nombreux par classe et les adultes référents qui encadrent les enfants dans une journée sont aussi plus nombreux : maître, ATSEM, animateurs sur le temps de cantine et sur la garderie du soir… Conséquences : de retour à la maison, la moindre frustration, aussi minime soit-elle, provoquait d’énormes colères où mes enfants étaient incapables de se contrôler (ils hurlaient, me tapaient si j’essayais de les approcher, tapaient dans les murs, jetaient des objets…).

Après de nombreux tâtonnements :

  • nous avons réussi à identifier conjointement des solutions « convenables » pour qu’ils libèrent leur colère lorsqu’elle était inévitable (pour l’un en criant dans le salon, pour l’autre en tapant sur un coussin ou en pleurant dans mes bras sans que je ne prononce un mot)
  • et, afin de réduire la fréquence de ces colères, il s’est révélé très utile de leur laisser un temps de « retour au calme intérieur » pour leur permettre de se « recentrer ». Il pouvait se dérouler dehors (observation des insectes, des bourgeons, des feuilles, construction de cabanes…) ou en intérieur via des activités manuelles  de création libre en autonomie.

J’ai disposé les ressources utiles à la réalisation de ces activités manuelles libres sur des étagères ou dans des placards, toujours aux mêmes endroits, dans un petit espace du salon. Parmi le matériel que mes enfants plébiscitent le plus : feuilles de brouillon en grande quantité, ciseaux, perforatrices, feutres, crayons de couleur, crayon à papier, gomme, taille crayon, règle, morceaux de bolduc recyclés à partir des cadeaux reçus (pour nouer ou décorer), modèles d’origami et de pixel arts, pochoirs, poinçonnage, compas avec blocage des branches, réalisation de bracelet en élastiques (Krasy Looms), jeux de tri sur les saisons ou les lieux de vie des animaux, éponge pour nettoyer la table de dessin avec de la pierre d’argile…  En plus de l’effet « apaisement » salutaire, ces activités permettent de développer la concentration et de la motricité fine.

Une fois leur calme intérieur retrouvé, mes enfants me sollicitent parfois pour les « nourrir » sur leur passion du moment : dinosaures, chevaliers, les nombres, les alphas,  les Pokemons, comprendre le jour et la nuit, les planètes, la création du monde, les volcans (l’influence de Vulcania a été très forte !), etc. Je me régale de ces moments-là. J’adore voir leurs visages rayonner de plaisir quand il découvre ou réalise une activité sur le thème qui les passionne ou qu’il s’immerge complètement dans la lecture d’un livre, qui peut apparaitre rebutant de par sa présentation ou pas adapté à leur âge ! Des petits moments de pur bonheur partagé !

Avec l’entrée à l’école élémentaire de mon fils ainé, nous avons « découvert » :

  • les devoirs
  • la nécessité d’apprendre à un rythme imposé par l’instituteur au groupe classe (exigé par les programmes scolaires)
  • les évaluations pour s’assurer que les compétences sont acquises.

Malgré l’acquisition de l’ensemble des compétences pré-requises pour l’entrée en CP (et même un peu au-delà), que ce soit sur le plan des connaissances comme sur le comportement, cette transition n’a pas été aussi simple que je l’avais imaginée.

Les devoirs sont devenus rapidement « pesants » sur nos soirées, malgré une grande souplesse de ma part sur leur réalisation (par exemples, possibilité d’épeler les mots au lieu de les écrire, épeler un mot dès qu’un pion est mangé aux échecs…). Il n’avait pas envie de s’y mettre, même si la durée de réalisation était courte.

Auxquels sont venus s’ajouter quelques difficultés supplémentaires :

  • une difficulté/lassitude croissante, en CE1, d’apprendre la vingtaine de mots d’orthographe par semaine (accompagnée des messages « je suis nul », « j’y arriverai jamais », contre lesquels je ne cesse de répéter que c’est normal de faire des erreurs et que c’est comme cela qu’on apprend) ;
  • une écriture de moins en moins lisible, qui trouve sa cause dans une mauvaise tenue du crayon et qui génère une douleur au poignet ;
  • des leçons, en théorie à relire, où je me rendais compte parfois qu’il n’avait pas bien compris les concepts.

C’est dans ce contexte que j’ai eu envie de créer ce blog, afin de partager mon expérience et de l’enrichir avec vos retours.

A travers ce blog, je souhaite :

  • partager les pistes de solutions qui me permettent d’accompagner le plus sereinement possible mes enfants dans leurs apprentissages et celles qui nous ont permises de dépasser les situations conflictuelles rencontrées, issues de notre expérience familiale (pour qu’elles soient expérimentées et commentées par d’autres familles dans des contextes similaires ou non et, ainsi, continuer à être enrichies) ;
  • formaliser les outils / activités / jeux, issus de mes recherches, qui permettent d’aider les enfants dans la mise en œuvre efficace de leurs devoirs (soutien scolaire) et éviter qu’ils ne deviennent une contrainte ou qu’ils détériorent les relations familiales ;
  • partager les ressources et démarches que j’ai utilisées pour répondre à la curiosité de mes enfants (qui nécessitent parfois d’établir une progression) ;
  • grâce à vos retours, à la co-construction qui j’espère va s’instaurer, continuer à avancer, gagner du recul et découvrir de nouvelles pistes;
  • et enfin, en tant qu’idéaliste, apporter ma petite contribution pour cheminer doucement vers un monde plus pacifique.

Citation de Mère Thérésa :

« Que pouvez-vous faire pour promouvoir la paix dans le monde ? Rentrez chez vous et aimer votre famille. »

Les apprentissages scolaires, une nécessité pour la vie professionnelle, qui ont cependant besoin d’être enrichis (développement de l’assertivité et de la créativité)

Tout au long de mon parcours étudiant, j’ai été considéré comme une bonne élève. Malgré des difficultés en orthographe (dont je garde encore les stigmates…) et un manque de goût pour les matières littéraires, je réussissais grâce à la logique et au raisonnement.

Mes études poursuivies jusqu’à l’obtention d’un diplôme d’ingénieur, m’ont permis d’acquérir des compétences qui me sont très utiles dans ma vie professionnelle et dans mon quotidien. En particulier :

  • capacité (et même besoin) de tenir un raisonnement logique pour prendre des décisions (qualité que j’exploite au quotidien, qui me permet de m’adapter pour répondre à mes objectifs) ;
  • forte capacité de concentration

Cependant, mon parcours scolaire m’a aussi appris à développer des comportements « néfastes » dans la vie de salarié d’une entreprise privé :

  • obéir à ce qu’on me demandait, sans jamais le remettre en question (un vrai obstacle dans ma vie professionnelle ; je me suis contrainte d’arrêter d’accepter l’avis des autres sans y réfléchir, à apprendre à toujours décider par « moi-même »)
  • peur de l’échec qui se traduisait, par exemple, par une difficulté à  me positionner rapidement en réunion et défendre mes points de vue
  • mémoire long terme pas assez développée (oubli des noms des personnes que je n’avais pas côtoyé depuis quelques mois…)

En effet, ces stratégies m’ont permis de répondre à mon objectif scolaire : avoir la meilleure note possible. Cependant, j’étais toujours passive en classe, me contentant de copier ce qui était dicté ou de recopier ce qui était écrit au tableau. Je ne cherchais pas à comprendre car souvent le débit était trop rapide et je n’osais pas poser de question (probablement de peur de me ridiculiser devant toute la classe). Puis chez moi, au calme, je reprenais mes notes pour les comprendre et je m’aidais de livres si nécessaires.

Pour toutes les matières où il fallait apprendre par cœur, j’ai développé une excellente mémoire court terme : j’apprenais la veille du contrôle d’énormes quantités d’informations, que j’avais déjà oublié 2 ou 3 jours plus tard (je n’ai jamais vraiment fait fonctionner ma mémoire long terme…).

Enfin, dans les matières où je n’étais pas à l’aise, j’avais développé des stratégies pour réussir à gagner le maximum de points aux évaluations sans avoir à m’intéresser au fond : je ne voyais aucune absurdité à cette situation puisque seule la note comptait pour tout le monde.

Après l’obtention de mon diplôme d’ingénieur, je suis rentrée dans un grand groupe du CAC 40 puis dans un second, au bout de 5 ans, pour me rapprocher de mon domicile. Je me suis beaucoup investie dans ma carrière professionnelle, j’ai eu la chance de vivre de nombreuses expériences, riches et variées, intellectuellement comme humainement. J’étais d’autant plus motivée que j’étais reconnue et valorisée dans mon travail.

Mais cela n’a pas été sans effort, il m’a fallu profondément travailler sur moi pour m’adapter à ces codes, ces modes de fonctionnements très différents de ceux de l’école. Dans cette transformation, j’ai eu la chance d’être aidé en prenant part à de nombreuses formations de développement personnel proposées par les entreprises dans lesquelles j’ai travaillé.

  • J’ai réalisé qu’il était indispensable que je ne reste pas passive en réunion : je me suis forcée à interagir, à me positionner en séance, sans différer mes prises de décision à un moment ultérieur, au calme. Cela m’a obligé à accepter que je me trompe et à apprendre à gérer ces situations où je devais reconnaitre mon erreur, sans me « rabaisser » exagérément ou en m’excusant excessivement.
  • Cela a aussi impliqué un gros travail sur moi-même pour devenir assertive (compétence sociale et communicative qui se trouve à mi-chemin entre passivité et agressivité) et plus créative. Par exemples, pour :
    • oser faire des présentations à plusieurs dizaines de personnes ;
    • oser et trouver les ressources pour animer des réunions où les relations entre les parties étaient conflictuelles en stoppant les dérives et en ramenant l’attention vers l’objectif ;
    • défendre mes points de vue face à de « grands » chefs  affirmés ;
    • oser dire NON, quand on voulait me confier des missions supplémentaires que je ne pouvais pas réaliser sans faire exploser mon nombre d’heures supplémentaires ;
    • faire preuve de créativité pour trouver des solutions dans les situations qui me paraissaient compliquées, voire inextricables de prime abord…

Le chemin n’a pas été simple mais quel épanouissement professionnel et personnel j’y ai gagné !

Ainsi, il me semble donc très important de tout faire pour développer ces compétences interpersonnelles le plus tôt possibles chez les adultes en devenir que sont les enfants, car elles me paraissent indispensables pour s’épanouir et se faire respecter en entreprise mais également dans sa vie personnelle.

Les pédagogies actives : ma solution pour maintenir l’envie d’apprendre de mes enfants (en prolongement de l’école)

Selon moi, un autre grand défi  qui se pose aux parents est : « Comment conserver cette joie et cette envie d’apprendre, intrinsèque chez nos jeunes enfants, qui a tendance à s’estomper voire disparaitre quand ils grandissent ? » Comme souvent reproché à l’école, j’ai également constaté que l’école affaiblissait les envies et plaisir de la découverte de mes enfants. En effet, le travers de l’obligation de suivre le programme au rythme impulsé par l’instituteur implique, la plupart du temps, une impossibilité pour l’enfant de décider de ses activités une bonne partie de son temps et entraine la passivité, qui est l’ennemi de la curiosité et de la créativité.

Et pourtant quelle joie de voir mes enfants être à l’affut de la moindre information concernant les dinosaures, les chevaliers et des châteaux fort, les grands rois de France ou encore les Pokemons ! A chaque fois qu’ils ont une passion, la section enfant de la bibliothèque devient vite trop restreinte ! Il faut aller dans la section des adolescents ou même adulte pour trouver des ouvrages qui vont continuer de nourrir cet appétit insatiable de connaissances. Alors que faire ?

Suite à de nombreuses lectures et recherches, j’en suis arrivée à la conclusion, je devais suivre les fondamentaux des pédagogies actives dans les activités que je propose dans le cadre familiale (que ce soit pour les devoirs ou les découvertes extra-scolaires), pour maintenir le plus possible cette envie d’apprendre. A savoir :

  • mettre à disposition des activités qui permettent à mes enfants d’apprendre ce qu’ils ont envie d’apprendre, en fonction de leurs centres d’intérêt, même si cela relève d’un domaine de l’enseignement scolaire (comme la lecture ou les mathématiques), en respectant leur rythme d’apprentissage
  • favoriser l’implication de tous les sens (mouvement, manipulation, affectif, faire parler, chanter…)
  • favoriser la découverte par l’enfant lui-même, d’un nouveau concept
  • dès que c’est possible, ne pas donner la réponse à un enfant mais lui donner des indices pour qu’il est la satisfaction de trouver lui-même et qu’il prenne l’habitude de chercher la réponse par lui-même, soit simplement grâce à la réflexion, soit en identifiant où il peut trouver la réponse (livre, une personne spécialisée dans ce domaine, internet…)
  • favoriser l’autocontrôle, via des activités autocorrectives ou en aidant l’enfant à identifier les stratégies qui lui permettent de s’autocorriger (par exemple, en production d’écrit, lui apprendre à se relire plusieurs fois en vérifiant à chaque fois des éléments différents)
  • s’assurer du plaisir d’apprendre de l’enfant, sinon arrêter l’activité (l’activité pourra être reprise plus tard ; ne pas hésiter également à la revoir, l’adapter en fonction des gouts spécifiques de l’enfant)

Pour aller plus loin, j’ai suivi une formation Montessori, qui m’a été très bénéfique pour les 6/12 ans, tranche pour lesquelles il n’y a pas encore beaucoup de documentations disponibles sur le web. J’ai également eu l’opportunité de suivre 3 enfants de CP/CE1 dans une classe Montessori, pendant 1 journée par semaine pendant 1 an. Cette riche expérience m’a permis de bien mettre en évidence, que si le matériel que l’on propose aux enfants doit bien sûr être adapté aux apprentissages actifs et conçu avec grand soin (c’est un prérequis), le plus important (et le plus difficile) est d’adopter la bonne posture pour développer la concentration de l’enfant et lui permettre de retrouver son envie d’apprendre lorsque celle-ci a été émoussée.

Alors pourquoi parler des « pédagogies actives » et pas simplement de la pédagogie Montessori ? Parce que je ne veux pas me cantonner à une seule approche. Maria Montessori, elle-même, invitait les partisans de sa pédagogie à continuer à l’enrichir, à l’adapter aux besoins des enfants, à condition que ces évolutions respectent les fondamentaux rappelés ci-dessus. De même Célestin Freinet, dont la pédagogie m’intéresse beaucoup également (qui sera l’un de mes prochains sujets d’approfondissement), invitait à continuellement la faire évoluer pour s’adapter aux évolutions du monde.

Je pense qu’aujourd’hui, il est particulièrement intéressant d’enrichir ce que ces extraordinaires pédagogues nous ont légués, avec les dernières découvertes en neurosciences et les nouvelles techniques de gestion mentale pour faciliter la mémorisation (comme par exemples, les tables de multiplication « mises en dessin » par Matthieu Protin, ou la personnalisation des lettres dans la méthode de lecture des alphas).

Et vous ? Qu’attendez-vous de ce site ? Qu’aimeriez-vous y trouver ?

Quels sont les sujets/thèmes qui intéressent particulièrement vos enfants ?

Cherchez-vous du matériel pédagogique pour répondre aux demandes de vos enfants ou pour du soutien scolaire ?

Ou plutôt des outils de communication pour renforcer votre épanouissement familial ?

Dans quelles tranches d’âge se situent vos enfants : 0/3 ans, 3/6 ans, 6/12 ans, collégiens ?

J’ai besoin de vos retours, via le formulaire de commentaires tout en bas de la page (dans le cadre jaune pâle), pour répondre aux mieux à vos attentes !

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